infraPLANA
R
Une nouvelle technologie de
haut-parleurs plans pour l’infra grave
A planar LOUDSPEAKER TECHNOLOGY FOR INFRA-BASS
Ecoute du grand Infraplanar
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Monsieur Jean Hiraga
est venu écouter le premier haut-parleur grave plan prototype INFRAPLANAR en
avril 2007.
Ses impressions d’écoute sont parues dans le N°319 de la Revue
Du Son de juin 2007.
Vous pouvez les lire en téléchargeant la dernière (page 7) de l’article de
Claude Lacroix Jean Hiraga
Les impressions de Monsieur Hiraga sont retranscrites ici mot pour
mot :
« …….Les grandes orgues s’expriment dans toutes leurs
dimensions, la transcription des plus gros tuyaux actionnés par le pédalier
n’engendre pas de défaut caractéristique de coloration de coffret, de défaut
lié au surplus d’énergie centré aux alentours de 50- 60 Hz rencontrés sur
certains caissons de grave.
Les tests de percussions, de timbales, de grosses caisses qui
suivent témoignent d’une rare vivacité, l’absence de trainage détourant chaque
son tout en laissant transparaître les effets spatialisants du système de
diffusion en doublet acoustique de l’ensemble des transducteurs.
Sur le CD TEST N° 17 de
Il faut l’écouter pour le croire.
Le test de voix (Kari Bremnes plage 3) témoigne une nouvelle fois
des qualités de rapidité, d’absence de coloration du panneau de grave
isodynamique Lacroix.
Il fusionne à merveille avec les panneaux Magnepan, l’extension
des premières octaves sans atténuation ni dé timbrage ayant pour effet
d’agrandir considérablement la scène stéréophonique…
Une création pleine d’astuces innovantes qui honore les
inventions françaises en électroacoustique. »
Lors de son passage pour l’écoute d’INFRAPLANAR ®, Mr Hiraga a
dit entre autre ceci :
« Ce système me
rappelle le ‘Tympani’ de Magnepan des années 1970 (ce système totalisait
environ
Le grave est complètement
intégré au système en panneaux et l’écoute est très cohérente».
Télécharger les pages de
l’article de la revue du son :
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Monsieur Philippe Daussin est venu écouter le haut-parleur
INFRAPLANAR ® en avril 2008.
Le haut parleur écouté était une version plus récente que la
version écoutée par Jean Hiraga, et qui utilisait déjà les solutions proposées
dans la version actuelle du Grand Infraplanar.
Ses impressions d’écoute sont parues dans le N°319 de la revue
Prestige Audio Vidéo de juin 2008
Vous pouvez les lire en téléchargeant les pages
Page 1 Page 2 Page 3 Page 4 Info-PAV
Ses impressions sont retranscrites ici mot pour mot :
« …….Nous avions compilé quelques extraits d’œuvre connues
de nos oreilles en contenant du véritable extrême grave pour notre visite chez
C. Lacroix. La plus part de ceux-ci faisaient appel à l’orgue, totalement ou
partiellement (Symphonie N°3 de Saint Saens, dite « avec orgue », Ave
Maria pour cor anglais et orgue, d’Astor Piazzola…) , pièces contenant des
fréquences flirtant avec le 30 Hz voire moins. Nous avons été très
impressionnés par l’ampleur de la reproduction de ces œuvres et l’extrême
aisance et le naturel d’Infraplanar dans les fréquences les plus graves. Pas de
son de boite à déplorer ni de traînage qui empâtent la restitution, avec
Infraplanar, tout est fluide et net.
C. Lacroix nous a également démontré les performances
exceptionnelles de son haut-parleur avec quelques extraits qu’il utilise pour
ses tests et démonstrations. Ainsi des percussions à très basses fréquences
sont reproduites avec une pression sonore et une vivacité extraordinaires. Sans
doute faudrait-il un bon nombre de haut-parleurs classiques de 38 cm ou 46 cm à
haut rendement, chargés dans d’importants volumes, pour ressentir une pression
sonore équivalente, et encore ceux-ci ne seraient pas en mesure d’aller
explorer l’infra grave comme le fait si aisément Infraplanar, tout en occupant
si peu de place.
CONCLUSION
Nous nous répèterons, Infraplanar est un haut-parleur de grave
exceptionnel, ses performances peuvent aussi le destiner au Home cinéma comme
voie LFE (subwoofer) , en lui adjoignant un amplificateur qui ne sera pas
nécessairement un monstre de puissance au vu de son rendement élevé.
L’une des ‘oreilles’ du site audiophilefr
s’est déplacé pour faire un CR d’écoute
Lien : http://www.audiophilefr.com/Site/ecoutes/affichage-enceintes-INFRAPLANAR.html
Le compte rendu de
Clodomire :
« Nous avons écouté de
nombreux extraits de CD que je connaissais (Improvisando, Paolo Pandolfo et
alii, Glossa ; K.F. Abel, Mr Abel's fine airs, Susanne Heinrich, basse de
viole, Hypèrion ; L'orgue Dom Bedos de Sainte-Croix de Bordeaux, Gustav
Leonhardt, Alpha), d'autres pas (Messiaen, Apparition de l'Eglise éternelle, P.
Cochereau, N.D. de Paris, rééd. Philips ; bande-son du film 'Himalaya' ;
Rachmaninoff, Etudes- tableaux, Marlena Maciejkowicz, Ars Musici ;
Rachmaninoff, Symphonie n°1, Eugène Ormandy....). C. Lacroix n'a pas à craindre
de gêner ses voisins et a la main très lourde sur le potentiomètre de volume.
La démonstration s'est donc
déroulée à un niveau très inhabituel pour moi et même parfois déraisonnable ;
une viole solo n'a tout de même pas le volume sonore d'un pupitre complet de
violoncelles d'orchestre ! Mais une chose est certaine, je n'avais jamais
entendu auparavant une reproduction aussi profonde, aussi transparente et aussi
convaincante de l'extrême-grave.
L'orgue de Notre-Dame, dont par
ailleurs je ne suis pas inconditionnel, est restitué avec une majesté, un
volume acoustique, une aisance proprement extraordinaires ; même sur le tutti
final, ô combien chargé (Messiaen), aucune dureté ; au contraire, une netteté
sans égal des jeux de pédale (Principal et Contre-bombarde de 32 pieds)
jusqu'au tréfond de l'infra-grave, surtout compte tenu de l'acoustique ingrate
de la cathédrale.
Le Dom Bedos / Quoirin de Bordeaux nous gratifie d'un Grand Plein-Jeu d'une
majesté, d'une grandeur, d'une gravitas impressionnantes ; le volume de la nef,
les résonances du buffet, perceptibles sur certains accords, sont rendues là
encore avec une netteté vraiment exceptionnelles. Pour avoir mieux, je vous
recommande de vous déplacer à Bordeaux...
L'extrait d'Himalaya comporte
diverses percussions, dont un très grand tambour ; à nouveau, la restitution
est impressionnante et les bras du fauteuil dans lequel je suis confortablement
assis vibrent sourdement au rythme des mailloches qui s'abattent sur la peau
(d'après une mesure effectuée avec le logiciel CoolEdit, la fondamentale est
à... 18 Hz).
Un enregistrement de chœur a capella effectué à Paris permet d'entendre très
nettement à certains moments un grondement extrêmement sourd : le passage du
métro (ce qui n'est pas nécessairement un avantage !).
Le piano de Rachmaninoff est rendu avec une présence remarquable. Il n'est pas
pas, comme si souvent, émasculé, réduit à une table d'harmonie privée de caisse
; c'est au contraire un grand instrument aux résonances profondes, d'une
lisibilité remarquable jusqu'au bas du clavier, percussif sans dureté,
équilibré. Superbe.
Il ne faut évidemment pas
s'arrêter à cet aspect 'grand spectacle', qui n'est pas essentiel. Ce qui l'est
en revanche, c'est que ce panneau est musicalement d'une complète transparence
: autrement dit, sa présence n'est pas perceptible comme un ajout au message
sonore, mais comme un extension organiquement intégrée à ce message. Aucun son
de boite, aucune congestion, aucune lourdeur ; au contraire, une sensation de
respiration, d'espace, vraiment saisissante, et une aisance dynamique
apparemment inépuisable.
Peut-être la nature isodynamique des Magneplanar et de l'Infraplanar est-elle
en partie responsable de cette fusion remarquable, mais M. Lacroix affirme que
son panneau fonctionne parfaitement avec des enceintes électrodynamiques
classiques, comme les Rogers LS3/5a ou de grosses JBL, ces dernières pourtant
déjà sérieusement dotées dans le grave. Je n'ai aucune raison d'en douter.
L'unique léger reproche que je ferais à cette écoute ne concerne pas
l'Infraplanar et est probablement assez aisée à surmonter : un certain manque
de focalisation de l'image stéréophonique, vaste et profonde, agréable mais
assez peu précise m'a-t-il semblé.
Qu'ajouter à propos de ce
panneau ? Des évidences : pour qui dispose d'une pièce suffisamment vaste
permettant de le placer correctement et de passer les fréquences les plus
basses, c'est probablement la meilleure solution possible pour une restitution
véritablement large bande, sous un volume et avec une aisance de mise en œuvre
bien plus favorables qu'un caisson classique.
Son rendement étant des plus convenables (env. 92 dB/W), un amplificateur
"raisonnable" est tout à fait envisageable pour l'alimenter ; au
cours de notre écoute, effectuée pourtant comme je l'ai signalé à des niveaux
sonores vraiment élevés, le crête-mètre n'a pratiquement jamais atteint 50 W
sur la voie d'extrême-grave (par contre, sur les 2.7QR, les crêtes les plus
intenses étaient de 250 W...).
C. Lacroix prétend que son
panneau peut fonctionner dans une pièce de dimensions modérées ; il n'empêche
que la plus grande dimension de cette pièce détermine en principe la plus
grande longueur d'onde qui peut s'y développer. Selon lui l'Infraplanar peut
donner des résultats surprenants dans une surface aussi modeste que 20 m2 ;
peut-être, mais je crois tout de même qu'il vaut mieux une pièce un peu plus
grande.
Quoiqu'il en soit, je pense
vraiment que c'est une solution d'un très grand intérêt, bien plus efficace et
musicale que ces monstrueux caissons de 500 litres si prisés de certains
audiophiles. Cet Infraplanar doit absolument être envisagé par qui songe à
compléter son installation dans l'extrême grave ; pour moi, il constitue et de
loin la meilleure réponse au grave problème de la reproduction des fréquences
les plus basses. «
Deux HP Infraplanar (chez Mr L.) dans un système présentant une
esthétique très ‘Monitoring’ puisque ce sont des S4CA (Monitor studio quadri-amplifiés)
de chez Adam Audio.
Ce système délivre un message extrêmement ‘dégraissé’ et analytique, tel
que l’on peut l’exiger d’une écoute de type Monitoring.
L’écoute a été faite à partir d’enregistrements de Mr L. faits en 24 bits
192 kHz, assez variés (Harpe et flûte, grand orchestre, chœurs, opéra contenant
un coup de fusil, percussions solo du compositeur Xenakis…etc…).
Ici tout est propre, clair et d’une dynamique à faire peur ! En
effet les enregistrements effectués n’ont subit aucune compression et affichent
une dynamique de 80 dB ( !) ce qui change un peu des 55 dB du CD
audio !
Ces Adam Audio peuvent générer 120 dB réels, ce qui est assez
exceptionnel pour une installation chez un particulier.
Le passage contenant un coup de fusil est extrêmement impressionnant et
fait quelque peu sursauter !
Les timbales de l’orchestre interprétant l’amour des 3 oranges de
Prokofiev sont d’un réalisme et d’une propreté confondante.
Le registre haut-médium / aigues est assuré par des haut-parleurs type AMT
(Air Motion Transformer) et sont d’une rapidité surprenante.
Ils peuvent de plus générer de très forts niveaux sonores sans effet de
compression ou saturation.
NB : l’écoute, à l’installation des Infraplanar, a été faite avec la voie grave en mono (addition
G+D et mise en série des 2 HP Infraplanar), mais Mr L. va bientôt passer en
stéréo vraie dans le grave et optimiser l’ensemble.
Selon Mr L., à la recherche d’un registre grave rapide et très étendu,
depuis que les Infraplanars sont intégrés, son système devient ‘enfin
écoutable’…
NB : Mr L. est d’une exigence assez hors du commun, vous l’aurez
compris, car il vit une expérience irremplaçable : celle du preneur de son
voulant retrouver chez lui ce qu’il a entendu au concert.
Ecoute DE la serie LS
Ecoute du LS50
La revue STEREOPLAY
a fait un banc d’essai du système ‘Answer’ (AudioNec) qui a été publié dans la
revue.
Accès au banc d’essai
(en Allemand) :Answer Stereoplay
Le LS50 a été
écouté avec les Magnepan MG2.7 et des JANUS50.
Avec les
Magnepan MG 2.7, il les complète remarquablement bien, aucune transition
audible n’est perceptible, c’est la cohérence totale.
Le LS50 se
conduit remarquablement sur les transitoires violents de batteries, et
percussions en général.
Le grave est
impeccable. Le sous grave, bien que moins impressionnant qu’avec les grands
Infraplanar ou le LS150, reste audible et présent ; il faut tenir compte
de la taille somme toute très raisonnable des LS50.
Avec les
Janus50, là encore le couplage est une très grande réussite et on monte un cran
en terme de dynamique et de niveau sonore possible.
Le très grand
succès du système ‘Answer’ de AudioNec lors de divers salons peut en
témoigner.
Le système
Answer, en Allemagne :
Ces LS50 sont
destinés à ceux qui ne cherchent pas forcément un infra-grave à niveau réel ou
qui n’écoutent pas de plages en contenant, mais à ceux qui veulent un punch
réaliste dans le domaine du grave jusqu’à 25 / 30 Hz, et qui ne peuvent pas se
permettre d’installer des caissons classiques ou des panneaux aussi grands que les LS150 ou les
grands Infraplanar chez eux.
Ecoute du LS150
Ce haut-parleur n’a été écouté pour le moment que sur mon système
personnel à base de Magnepan MG 2.7 , en grave central, coupé à 100 Hz.
Les 2 bobines sont mises en parallèle et un amplificateur (RamAudio + DSP
intégré permettant le filtrage numérique devant chaque ampli) envoie le signal
D+G filtré en passe bas à 100 Hz.
Le LS150 est placé entre les deux MG 2.7, à 3 mètres de l’auditeur face à
lui.
La première impression est que l’infra est bien là, pas de doute là-dessus.
La puissance sonore et la ‘pêche’ sont tout simplement incroyables, le BL
de 37 n’y est surement pas pour rien, ça pousse !
Ce LS150 fait bien sur mieux que les 2 grands Infraplanars réunis en
terme de niveau sonore possible, et ceci avec les mêmes puissances
d’amplification (contrôlées sur les crêtes mètres).
Sur une écoute d’un très très gros orgue américain (6 clavier, 150 jeux,
8000 tuyaux) , le grave est tout simplement énorme, les fondamentales des
tuyaux de 64 pieds (8 Hz) remuent littéralement le plancher et on peut en
compter les alternances générées tellement le niveau d’infra est élevé et
surtout très lisible et propre.
En effet pas d’impression de ‘bouillie sonore’ pâteuse, mais plutôt une immersion dans la
réalité.
On est dans la salle de concert (cet orgue n’est pas dans une église) et
c’est absolument incroyable de vérité et de puissance.
NB : La membrane ne bouge pratiquement pas…1 à 2 mm, c’est tout. La
puissance affichée est de 10W maximum en crête.
Des plages un peu plus dynamiques (Marcus Miller) ‘tapent’ avec une
énergie incroyable, à faire peur.
La plage N°2 ‘Norbu’ du disque de musique de film ‘Himalaya’ descend
vraiment très très bas (18 Hz) et fait trembler toute la pièce, encore plus
qu’avec les 2 grands Infraplanar d’origine.
Personnellement jamais je n’ai entendu cela, quelque soit le système.
Lorsque l’on entend le LS150 et que l’on a à l’esprit l’encombrement
minimal qu’il demande, la facilité de le déplacer (ses 60 kg glissent tout
seuls sur le parquet) et que l’on sait sa simplicité de mise en œuvre, on a du
mal à y croire.
On se demande pourquoi un tel HP n’existe pas depuis longtemps et n’est
pas disponible à la vente, depuis le temps que les constructeurs recherchent
des solutions dans ce domaine…
Le LS150 fait aussi belle impression en terme de ‘finesse’ et ‘rapidité’
et donc de nuance du grave, ceci avec des plages de contrebasse, violoncelle,
piano, et viole de gambe aussi !
En effet, le niveau sonore c’est bien, mais n’oublions pas l’essentiel de
la haute-fidélité à savoir la neutralité et la qualité de restitution.
Ce LS150 présente donc des avantages assez inhabituels pour une section
grave : puissance sonore élevée et se contente de quelques Watts, grande
propreté de grave, bande passante étendue dans l’infra grave, encombrement
faible, etc…
Quelle autre section grave peut afficher cela ?
Si vous cherchez un complément grave en dessous de 100Hz et pouvant
générer un très fort niveau, sans vous lancer dans une construction de
pavillons ou énormes volumes de plusieurs mètres cubes et d’en arriver à
modifier votre habitation, la réponse est claire maintenant :
LS150.
12/2011 Infraplanar production